Soissons dont les habitants sont appelés les Soissonnais, est une commune française, située dans le département de l’ Aisne en région Picardie .. Il est à noter que Soissons, surnommée « la cité du Vase », est historiquement connue pour avoir été la première capitale de la France . Se trouvant dans un méandre de la rivière CodyCross Réponse » Faune et Flore Groupe 175 » Grille 1 » Ville du Nord surnommée « la cité de Jean Bart » Le jeu simple et addictif CodyCross est le genre de jeu où tout le monde a tôt ou tard besoin d’aide supplémentaire, car lorsque vous passez des niveaux simples, de nouveaux deviennent de plus en plus difficiles. Elleest surnommée « la cité du Vase ». Soissons est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont les Soissonnais. Lacité grecque recelait de tels trésors qu’elle donna son nom à une civilisation du IIe millénaire av. J.-C. Longtemps comparés aux héros de l’Iliade, les guerriers mycéniens dévoilent, grâce à l’archéologie, leur véritable visage. Cet article a initialement paru dans le magazine National Geographic Histoire et Civilisations. Disciplinesdu centre. Tir. Description. Le stand de tir se situe dans l'Aisne au cœur de la ville de Soissons. Cette dernière est historiquement connue pour avoir été la première capitale de la France. Elle est surnommée " La Cité du Vase". Située idéalement à 1h30 de Paris, cette ville vous étonnera par son patrimoine culturel et ZRqLfiO. Liège prononcé /ljɛʒ/, anciennement écrit Liége ; aussi prononcé Liége /lje̞ːʒ/ ou Lièche /ljɛːʃ/ en liégeois ; en néerlandais Luik; en allemand Lüttich; en wallon Lîdje /liːtʃ/, aussi surnommée La Cité ardente », est une ville francophone de l'est de la Belgique. Elle est le chef-lieu de la province de Liège et la capitale économique de la Wallonie. De 972 à 1795, elle fut la capitale de la Principauté de Liège. Du viiie au xvie siècle, elle fut le siège du vaste évêché de Liège, héritier de la Civitas Tungrorum. Liège couvre une superficie de 69,39 km2 avec une population de 197 355 habitants 01/01/2018, soit densité de 2 844,14 habitants par L'habitante de Liège s'appelle une Liégeoise.Fuseau horaire principal +0200Langue officielle françaisLocalisationLiège descriptifGéographieLa ville de Liège est née à la confluence de la Meuse et de la Légia, au pied du promontoire du Publémont. Jusqu'au début du 20e siècle, le développement de la ville fut restreint aux plaines alluviales de la Meuse fleuve, de l'Ourthe et de la Vesdre. En effet, l'escarpement de la plupart des versants obligeait la ville à rester dans la vallée. Le centre de Liège est à 60 mètres d' du versant nord-ouest de la ville, on retrouve Rocourt à 180 mètres d'altitude où le relief redevient plat. Cette partie de la commune de Liège fait partie du plateau l'est de la ville, à Grivegnée, se trouve le large promontoire du plateau de Belleflamme qui constitue une avancée du pays de Herve. Ce promontoire est incisé par plusieurs vallons secondaires dans lesquels se sont développés des axes de circulation comme les rues de Rue Gaillarmont et Jules sud, on atteint le point culminant de la commune avec 270 mètres au Sart-Tilman à la limite avec la commune de Seraing. Cette partie de la commune de Liège connaît des versants encore plus escarpés et est également un promontoire qui fait partie de la région géographique de l’Ardenne ces fleuves et rivières, la ville comporte plusieurs canaux le canal Albert, inauguré en 1939 et porté, en 1997, à 9 000 tonnes, qui permet de rejoindre l'estuaire de l'Escaut en partant de l'île Monsin ; la Dérivation qui remplace plusieurs bras de la Meuse et de l'Ourthe pour favoriser la navigation et réduire les inondations ; et le canal de l'Ourthe, vestige d'un projet de canal entre la Meuse et la la Meuse et l'Ourthe se divisaient en de nombreux bras qui traversaient la cité, mais ils furent progressivement comblés et devinrent notamment l'avenue Blonden, les boulevards d'Avroy, Piercot et de la Sauvenière, les rues de l'Université et de la Régence pour la rive gauche de la Meuse, les boulevards Saucy et de la Constitution en Outremeuse ainsi que les boulevards de Douai, de Froidmont, Frankignoul, Raymond Poincaré et Émile de Laveleye pour la rive Legia, Liège et LîdjeL'étymologie du nom de Liège a suscité, depuis le Moyen Âge, une longue série d'hypothèses. La dernière révision toponymique permet de situer l'origine de Liège au temps du Bas-Empire romain en Germanie inférieure, en adéquation avec les vestiges romains de la place Saint-Lambert attestant une présence, probablement prospère, du ier au ive avec un accent aigu, ce avant l'arrêté du Régent du 17 septembre 1946 approuvant la délibération du Conseil communal de la Ville de Liége du 3 juin de LiègeLa périphrase la plus souvent utilisé pour désigner la ville de Liège est Cité ardente ». Cette appellation vient du titre d'un roman chevaleresque écrit par Henry Carton de Wiart édité en 1904. Ce roman raconte le sac de la ville de Liège par les troupes de Charles le Téméraire en 1468, malgré la résistance liégeoise, aidée par un important contingent, les Six cents Franchimontois, venu d'une seigneurie voisine. L'appellation de Cité ardente » n'est pas antérieure à la parution de ce roman. Elle a surtout été popularisée par le prince Albert, qui faisant référence au titre dudit roman dans son discours inaugural de l'Exposition universelle de Liège de 1905 va vraiment lancer l'expression près des journalistes liégeois. Cette expression est restée ancrée dans le langage populaire et la Cité ardente », Liège est souvent appelée La Cité des Princes-évêques » en raison de l'ancienne principauté épiscopale de Liège et de l'esprit des liégeois que l'on qualifie d'esprit principautaire. Liège est, tout comme Rouen, Caen, Poitiers, Dijon, Montréal, Vienne ou Prague, surnommée la Ville aux cent clochers en raison du nombre important d'édifices religieux une cathédrale, six collégiales et une cinquantaine d'églises. En raison de ses grands liens d'amitié avec la France — les Liégeois s'étant inspirés de la Révolution parisienne de 1789 et ayant par la suite été la première ville étrangère à recevoir la Légion d'honneur —, elle est parfois appelé Le Petit Paris » mais aussi La petite France des bords de Meuse » par Jules Michelet, ou encore Un petit coin de France perdu en Belgique » par Alexandre Dumas. Enfin, Liège est aussi surnommée l' Athènes du Nord » en raison des écoles qui font sa renommée dans tout l'Europe au Moyen traces du Mésolithique et au Néolithique démontrent une activité humaine sur le site de Liège dès la Préhistoire. Cette occupation, que l'on situe Place Saint-Lambert est probablement gallo-romaineLes premières fouilles, en 1872 ont permis de retrouver les traces d'une villa gallo-romaine la Job-villa, datant probablement du ier et iie siècle apr. à Jupille, sur un plateau dominant la Meuse - en fait, un cône de déjection qui protégeait cette zone des inondations de la Meuse - au point de rencontre entre le fleuve et l'importante voie romaine de Tongres à Trèves encore appelée Voie des Ardennes. Un hypocauste et un vase planétaire à sept têtes représentant les divinités de chaque jour, originaire de Bavay sont découverts. Ce vase et plusieurs objets contemporains sont exposés au musée Curtius de Liège. Dans ces deux villas, à Jupille et Herstal, s'installeront plus tard les palais Carolingiens, de part et d'autre des rives de la Meuse où l'on traversait le gué. On attendit alors pendant des siècles la fin des périodes de crues du fleuve pour rejoindre de Tongres la Voie des Ardennes ou celle d' amont à quatre kilomètres de la villa de Jupille, sur la rive gauche du fleuve, sur le site de la future place Saint-Lambert, au tournant des ier et iie siècles de notre ère, est érigée une villa rustica, à 15 km d'Atuatuca Tungrorum aujourd'hui Tongres et à 20 km de Trajectum ad Mosam aujourd'hui Maastricht. Cette villa romaine, occupée du iie au iiie siècle, sera redécouverte sous les vestiges de la cathédrale. Des fouilles récentes permettent de préciser le plan de cette vaste réalisation de près de 2 000 m2. Construite en terrasses pour s’adapter à la pente naturelle du site, proche des alluvions de la Légia, mais hors de la zone marécageuse du coude de la Meuse à la Sauvenière, elle est dotée de bains chauds et d’un chauffage domestique par hypocauste. De style romain murs en pierre, tuiles rouges… cette villa rustica constituait le centre névralgique d’une exploitation agricole comme il s’en comptait alors des dizaines sur le territoire de l’actuelle Wallonie. Peu après le iiie siècle, l'occupation devient sporadique, quelques éléments permettent de préciser une occupation parasitaire » du bâtiment au ive siècle et peut-être la présence d'un foyer au ve siècle. Le plan de la villa est tout à fait classique, mais une approche comparative démontre manifestement une dimension particulièrement imposante. Elle était manifestement bien décorée. Si les premières traces de la présence romaine sur la place Saint-Lambert datent de la fin du ier siècle apr. c’est aux iie et iiie siècles que l’occupation est la plus dense. Il est probable que ces bâtiments furent détruits lors des razzias opérées, fin du iiie siècle, par les Francs, les Alamans et d’autres tribus mérovingienne et carolingienneLa villa Legia est incendiée et le site est abandonné près de quatre siècles. Liège se retrouve en documents datés du viiie siècle évoquent la présence d'une résidence des souverains carolingiens. Il faut préciser qu'à ce jour, si les traces romaines sont évidentes, on n'a toujours pas découvert d'indice probant d'une présence carolingienne. Un palais aurait existé à Jupille-sur-Meuse au viiie siècle, où Pépin II, dit de Herstal, séjourna et, selon certaines sources, Pépin III, dit le Bref, y séjourna également en 759 ou 760. Ce palais passait au xve siècle pour avoir été le lieu, contesté par la suite, de la naissance de Charlemagne. Si une partie de la dynastie des Mérovingiens et des Carolingiens est probablement originaire du bassin liégeois, bloquée dans ses palais selon la praticabilité du gué de la Meuse, prête à porter la guerre en Neustrie dès l'éténote 9. Que ce soit de Jupille ou de Herstal, au xixe siècle il est de bon ton de se trouver d'illustres origines et une statue de Charlemagne, est érigée en 1867 dans le centre-ville. Dans les niches du piédestal néo-roman, six statuettes représentent les ancêtres de l'empereur, originaires du pays de Liège sainte Begge, Pépin de Herstal, Charles Martel, Bertrude, Pépin de Landen et Pépin le Bref. Les premiers évêques de Liège sont eux aussi apparentés aux grand empereur est, en tout cas, entré dans la légende liégeoise et reste très présent dans le folklore local, son dialogue avec Tchantchès restant un morceau d'anthologie petite bourgade existe dès le Haut Moyen Âge. Cependant, la fondation de la ville, en tant que telle, date des environs de l'an 700, à la suite de l'assassinat de saint Lambert, alors évêque du diocèse de Tongres-Maastricht. À la suite de cet évènement, son successeur, Hubert de Liège, transfère, avec l’approbation du pape, le siège de l'évêché de Maastricht vers Liège. Le futur saint Hubert devient ainsi le premier évêque de Liège. Liège devient alors rapidement un important lieu de pèlerinage et se transforme petit à petit en une prestigieuse et puissante cité, cœur du Diocèse de Liège, circonscription qui pèse de tout son poids sur l'histoire des Pays-Bas de LiègeOn assiste aux prémices de la Principauté de Liège lorsque Notger est appelé au trône épiscopal de Liège par l'empereur germanique Otton II en 972. Il reçut également le privilège d'immunité générale en 980. L'évêque de Liège est alors l'unique maître de ses terres, il devient prince-évêque et son domaine une principauté ecclésiastique. Liège est la capitale de cette puissante principauté à partir de l'an 980 grâce à l'action des évêques Éracle, Notger et Wazon, et le reste jusqu'en 1795 ; elle en est également une des 23 Bonnes écoles sont célèbres jusqu'au xiie siècle. Leur réputation vaut à Liège le surnom d’ Athènes du Nord » ou de Nouvelle Athènes ». Sept collégiales s'élèvent alors dans la ville Saint-Pierre, Sainte-Croix, Saint-Paul, Saint-Jean, Saint-Denis, Saint-Martin, Saint-Barthélemy en plus de la cathédrale où est enterré saint Lambert. Deux abbayes bénédictines s'y ajoutent Saint-Jacques et Saint-Laurent. Plusieurs églises romanes et de nombreuses pièces d'orfèvrerie art mosan témoignent encore aujourd'hui de l'efflorescence de cette époque, en particulier les fonts baptismaux de la ville, conservés aujourd'hui à Saint-Barthélemy. Liège devient très tôt ville d'industrie. La houille y est extraite de longue date. Jean Curtius est l'un des plus grands armuriers d'Europe. Des Liégeois sont à l'origine de la sidérurgie suédoise. Les Liégeois luttent pour la démocratie, la Paix de Fexhe en est une étape, mais les Ducs de Bourgogne rassemblent les Pays-Bas bourguignons en un État absolutiste. Principautés laïques ou ecclésiastiques tombent aux mains des Ducs. Les Liégeois refusent ce que le Prince Philippe le Bon veut leur imposer, à savoir l'élection de son neveu Louis de Bourbon à la tête de l'État liégeois. Ils s'allient au roi de France Louis XI mais sont battus à Montenaken. Soumis à une Paix » humiliante 1465, ils résistent encore mais leur armée est battue à Brustem par le fils de Philippe, Charles le Téméraire, qui supprime juridiquement et unilatéralement la la suite de la tentative de capture, dans son campement installé sur les hauteurs de la ville, de Charles le Téméraire par Gossuin de Streel, Vincent de Bueren et les 600 Franchimontois, Liège est entièrement pillée et brûlée à partir du 3 novembre 1468. Seuls quelques monuments religieux sont épargnés. Quant au perron, symbole des libertés liégeoises, il est transféré à Bruges en guise d' retrouvera son perron et son indépendance relative dès 1478, à la suite de la mort du Téméraire. Érard de La Marck, ami d'Érasme et de Léonard de Vinci va reconstruire en vingt ans son Palais des Princes-Évêques. Elle redevient donc la capitale d'un pays dont l'indépendance, certes mise à mal — la neutralité liégeoise n'interdit pas aux belligérants de traverser son territoire —, se maintiendra au cours des trois siècles suivants et verra les révoltes des Rivageois, les luttes des Chiroux et des Grignoux xviie siècle, la naissance du capitalisme des négociants d'armes comme Curtius, l'ouverture aux Lumières au xviiie siècle sous l'impulsion de l'évêque Velbruck. L'intransigeance de son successeur, Hoensbroeck mènera ensuite à la révolution liégeoise. À la veille de la révolution liégeoise, le patrimoine religieux, une cathédrale, sept collégiales, une trentaine de paroisses, une quarantaine de couvents et une centaine d'hôpitaux et de béguinages, sans compter le palais des princes-évêques, représentent près des trois quarts de la surface de la ville, considérée depuis Érard de La Marck comme le rempart à la réforme. L'existence de la principauté de Liège se termine dans le sang, entre 1789 et 1795. La révolution va confisquer une grande partie de ce patrimoine qui sera réparti entre public et privé. Fait unique au monde la cathédrale Saint-Lambert est liégeoise et françaiseEn 1789, la révolution française et la révolution liégeoise éclatent en même temps que la révolution brabançonne qui donne naissance aux États belgiques unis à la suite de la victoire de bataille de Turnhout sur l'armée autrichienne, tandis qu'à Liège Nicolas Bassenge chasse le Prince-évêque qui trouve refuge à Trèves. Ce dernier est très vite replacé sur son trône par les troupes autrichiennes qui prennent leur revanche sur l'armée des États belgiques restauration du Prince-Évêque est mal acceptée par les Liégeois qui pensent voir en libérateurs les troupes françaises de Dumouriez, lesquelles investissent la ville en 1792. Le système politique et social de l'Ancien Régime en est fondamentalement bouleversé ; par exemple, les Liégeois peuvent pour la première fois voter au suffrage universel. En 1792, les Liégeois usèrent pour la première fois de ces nouveaux droits et votèrent pour la réunion de leur Principauté à la 1793, une seconde restauration du Prince-Évêque a lieu à la suite de la défaite française à Neerwinden, mais elle est de courte le mois de juin 1794, l'armée impériale quitte la Principauté de Liège, avant d'être vaincue à Sprimont. L'occupation française entraîne l'exil définitif du dernier Prince-Évêque François-Antoine-Marie de Méan. Le 1er octobre 1795, le Directoire décrète l'annexion de la principauté à la Première République française, entraînant par là-même la disparition de cet État qui, durant neuf siècles, fit partie du royaume de Germanie et à sa suite du Saint-Empire romain germanique. Le reste de la Belgique est aussi annexé et Liège devient le chef-lieu du département de l' français et hollandaisLe traité de paix signé à Amiens le 25 mars 1802 est bientôt suivi d'une déclaration de guerre de l'Angleterre à la France le 18 mai 1803. Les hostilités recommencent avec fureur sur terre et sur mer. Les Anglais dominent sur ce dernier élément ; mais le continent leur échappe entièrement. Aussitôt après la déclaration de guerre, les armées françaises s'emparent du royaume de Hanovre, possession anglaise sur la terre Premier Consul, Bonaparte, parcourt la Belgique dont la conservation est alors d'une extrême importance pour la France il visite les côtes et les places fortes. Le 13 thermidor an XI lundi 1er août 1803, il arrive à 6 heures du soir de Maastricht à Liège par le quai est reçu avec enthousiasme par le clergé ayant l'évêque à sa tête, les autorités et le peuple. Le lendemain matin, il parcourt les ruines du faubourg d'Amercœur bombardé et incendié les 28, 29 et 30 juillet 1794 lors de la retraite des il visite la ville et va voir la citadelle et le champ de bataille de Rocourt 11 octobre 1746. Le 15 thermidor 3 août, il quitte Liège par la porte d'Avroy. Le même jour est publié un décret par lequel il accorde une somme de 300 000 francs pour la reconstruction du faubourg d'Amercœur. Ainsi un tiers de la somme était encore fourni sur les biens 1804, la ville reçoit le titre de Bonne ville » de l'Empire. Le titre de duc lui est 1815, la défaite de Napoléon Bonaparte à Waterloo met fin au régime français. Le territoire liégeois, tout comme le reste de la future Belgique indépendante, passe alors sous tutelle hollandaise. La période hollandaise verra la création de l'Université de Liège et de l'Opéra royal de dans la Belgique après 1830En 1830, la révolution belge éclate à Bruxelles et plus de 300 Liégeois s'y rendent à pied, à cheval, traînant avec eux un canon sous la direction d'un pamphlétaire, un des héraults de l'opposition aux Pays-Bas, Charles Rogier. Ils combattent sur les barricades bruxelloises et participent ensuite à la libération de la Belgique avec des volontaires venus de tout le pays. À partir de ce moment-là, Liège fait partie du royaume de 1830, les Liégeois dominent la vie politique belge. Charles Rogier est un des leurs et son rôle dans la révolution est capital. Il sera à la tête de plusieurs gouvernements WikipediaLiège dans la bande dessinéeDécouvrez les informations sur Liège dans la bande de 10 photos de Liège105 autres localités pour la province de LiègeDocument créé le 01/01/1970, dernière modification le 27/06/2022Source du document imprimé est un site personnel dont le contenu n'engage que moi. Le texte est mis à disposition sous licence CreativeCommonsBY-NC-SA. Plus d'info sur les conditions d'utilisation et sur l'auteur. Présentation Episode 1 - Lys sans frontière Durant l’été Emma se balade dans notre belle région Hauts-de-France. Aujourd’hui, c’est dans la Vallée de la Lys qu’elle nous emmène, surnommée aussi la rivière d'or ». Elle vous fera découvrir au fil de l’eau de véritables pépites ! Au programme, excursion sur un catamaran, balade sur la véloroute de la Lys à vélo et enfin quelques pratiques de yoga au bord de l’eau pour se détendre le corps et l’ 2 - Calais Côte d'OpaleDurant l'été, Emma se balade dans notre belle région Hauts-de-France. Aujourd’hui, c’est direction Calais - Côte d’opale ! Au programme, rencontre avec Delphine, du musée de la Dentelle à Calais qui nous parlera de l’exposition temporaire à ne pas manquer cet été. Ensuite, c’est Bertrand qui nous a organisé une randonnée nature au cœur du Cap Blanc Nez. Mais avant de découvrir ces beaux endroits, Stéphane nous attend à la Compagnie du Dragon pour nous plonger dans l’univers passionnant et poétique du théâtre 3 - Oise Tourisme 1 - 2CV Pays de BrayDurant l’été Emma se balade dans notre belle région Hauts-de-France. Aujourd’hui, c’est direction l'Oise !Au programme, rencontre avec Yves qui me plongera dans l’univers du train à vapeur . Ensuite, c’est Xavier qui nous parlera du théâtre du Beauvaisis ainsi que la programmation de cet été. Nous passerons bien entendu par le merveilleux village de Gerberoy. Mais avant de découvrir ces beaux endroits, Grégoire nous emmène à bord de sa 2CV pour une balade au cœur de la campagne du Pays de Bray ! Episode 4 - Oise Tourisme 2 - Cheval et croisièreEpisode 5 - Oise Tourisme 3 - ChantillyDurant l’été Emma se balade dans notre belle région Hauts-de-France. Aujourd’hui, c’est direction l’Oise !Au programme, une petite balade à vélo avec Antoine au cœur du Château de Chantilly. Ensuite, c’est Luc qui me fera découvrir la région à bord d’une mythique Peugeot 103. Mais avant de me passionner pour ces beaux paysages, Julien m’attend au cœur de la jolie ville de Hermes pour une descente en canoë !Episode 6 - Eté à Hesdin Durant l’été Emma se balade dans notre belle région Hauts-de-France. Aujourd’hui, c’est direction Hesdin en Vallées d'Opale ! Au programme, rencontre avec Antoine éleveur et transformateur d’escargot à la Ferme hélicicole de Campagne-les-Hesdin. Ensuite, c’est Hubert qui nous a organisé une visite du château de Fressin et de sa belle église. Mais avant de découvrir ces beaux endroits, Alexandre nous attend au coeur de la jolie ville d’Hesdin pour nous y faire découvrir ce petit coin de poésie ! Episode 7 - Eté dans l'Avesnois Durant l’été Emma se balade dans notre belle région Hauts-de-France. Aujourd’hui, c’est direction l'Avesnois ! Au programme, rencontre avec Julien à l’atelier - musée du verre de Trélon. Nous plongerons dans l’univers incroyable des souffleurs de verre! Ensuite, c’est Thomas qui m'a organisé une visite du château de Trélon et de son restaurant La petite Folie ». Mais avant de découvrir ces beaux endroits, Laurent m'attend au musée du textile et de la vie sociale de Fourmies ! Episode 8 - Eurometropole Durant l’été Emma se balade dans notre belle région Hauts-de-France. Aujourd’hui, c’est direction Lille - Courtrai - Tournai avec l'Eurométropole ! Au programme, rencontre avec Mr le Maire de Zwevegem. Ensuite, c’est Victor qui m' a organisé une visite des expositions actuelles à la condition publique de Roubaix et qui me parlera du festival PIL AU RDV qui aura lieu cet été du 8 au 24 juillet. Mais avant de découvrir ces beaux endroits, Diana, Laurence et Margaux m’attendent dans l’ancienne piscine d'Espierres, une vraie perle de notre patrimoine qui allie la nature, l’eau et l’environnement . Episode 9 - Coudekerque Durant l’été Emma se balade dans notre belle région Hauts-de-France. Aujourd’hui, c’est direction Coudekerque-Branche ! Au programme, rencontre avec David qui nous présente la nouveauté de cet été le DINO PARC ! Une nouvelle attraction dans un incroyable décor Jurassique. Puis il nous présentera la Ferme Vernaelde. Un lieu idéal pour occulter le stress de la vie citadine. Episode 10 - Montreuil-sur-Mer Durant l’été Emma se balade dans notre belle région Hauts-de-France. Aujourd’hui, c’est direction Montreuil-sur-Mer ! Au programme, rencontre avec Mathieu du Gambetta Café qui nous fera une démonstration incroyable de cocktails. Ensuite, c’est Arnaud de Trott'events qui nous a organisé une balade en trottinette électrique. Mais avant de découvrir ces beaux endroits, Lucile nous attend au coeur de la citadelle de Montreuil-sur-Mer pour nous parler de son célèbre son et lumière Les Misérables ». Episode 11 - Soissons Direction la Cité du Vase pour découvrir les activités qui nous attendent tout l'été. Emma Bencteux, guide conférencière, nous emmène tout d'abord visiter la Cathédrale St Gervais-St Protais. L'édifice construit sur 145 années permet d'apprécier plusieurs d'Art gothique. Nous ne profitons pour grimper en haut de la tour pour admirer la vue à 360 °. Direction ensuite Pommiers où l'Association les Voiles Soissonnaises proposent tout l'été des activités au fil de l'eau pédalo, canoë, bateau électrique. Les plus aguerris peuvent partir en balade avec une vedette sur l'Aisne. Patrick et Mathieu nous emmènent pour une escapade bucolique. Enfin, François Hanse nous propose une déambulation à travers Soissons pour évoquer "Soissons en lumière", un show multimédia qui transporte les curieux en lumière et en musique dans l'histoire de la ville à la tombée de la nuit. Episode 12 - Bassin Minier Tout l'été, découvrons ensemble les territoires des Hauts-de-France. Direction le Bassin minier qui fête les 10 ans de son inscription au patrimoine mondial de l'UNESCO. L'occasion d'en apprendre plus sur son histoire, son patrimoine. Petite halte tout d'abord à Aix Noulette pour une visite de la Brasserie Saint Germain puis direction le musée de l’Ecole et de la Mine à Harnes. Enfin, nous découvrons la Cité des électriciens inaugurée en 2019 qui permet d’en apprendre plus sur le patrimoine minier. Episode 13 - Lille 3000 A l'occasion de la nouvelle saison culturelle de Lille 3000 Utopia, nous vous emmenons à la découverte des expositions et animations qui se jouent tout l'été dans la Métropole lilloise. Découverte de l'exposition "Les vivants" au Tripostal, qui transporte notre imagination et questionne la cohabitation entre les pantes et les animaux. Depuis le Musée de l'Hospice Comtesse, le serpent cosmique revisite livre mythique du même nom de l’anthropologue Jeremy Narby. Enfin, le jardin d'Eden vous plonge dans l'univers des artistes un laboratoire d'idées ambitieuses qui pourraient, à leur manière, contribuer à rendre le monde meilleur... Episode 14 - Pays d'Opale L’office du tourisme lance une opération originale en surfant sur l’histoire célèbre du Vase du Soissons. Le principe est de venir déposer votre vase, cassé, ébréché ou entier avec si possible un petit commentaire. Les objets donnés composeront la nouvelle vitrine de l’office. Soissons a son» vase lié à Clovis. L’office de tourisme veut récupérer vos vases, et votre version ou commentaire sur la célèbre histoire du roi des Francs. Publié 3 avril 2021 à 15h59 Temps de lecture 2 min Invalid Scald ID. Déposer un vase dans un office du tourisme. Il n’y a sûrement qu’à Soissons, surnommé la cité du Vase, que ce genre de collecte ne paraîtra pas farfelue. L’Agglomération vient ainsi de lancer cette semaine l’opération vase wanted » vase recherché » en anglais. L’idée ? Vous venez offrir votre vase, entier ou ébréché, au 16, place Fernand-Marquigny. Se réapproprier l’histoire locale Bien évidemment, ce n’est pas Clovis qui vous accueillera avec sa moustache et sa massue, mais l’équipe très créative de la structure. Nous mettrons les objets offerts en vitrine. À côté du Vase de Soissons, il y aura les “vases des Soissonnais, résume Pascal Tordeux, élu de GrandSoissons Agglomération délégué au tourisme. J’espère que chacun viendra avec un petit message, expliquant sa vision, son commentaire sur cet épisode entre Clovis et l’un de ses combattants. Si certains souhaitent écrire une version alternative de cette histoire, ce sera aussi bienvenu. » Outre recueillir les vases de Soissons », l’opération vise donc à faire parler les habitants sur leur patrimoine. Nous avons un vase, une histoire… Nous devons nous les réapproprier, commente Pascal Tordeux. L’épisode du Vase » symbolise la victoire de Clovis, la fin du monde romain, et pose la première pierre des fondations de la France mérovingiens, carolingiens, capétiens. L’idée est de rappeler à chaque habitant que durant les siècles qui ont suivi, Soissons a rayonné sur un empire qui est aujourd’hui à valoriser d’un point de vue touristique. L’événement s’inscrit dans une démarche plus globale de mise en valeur du territoire. » Le site de l’abbaye Saint-Médard fut notamment essentiel à l’influence de la ville au Moyen-Âge. Une campagne de fouilles y est entreprise et un projet de parcours ludique est en cours d’étude. Lire aussi À Soissons, le besoin d’une aire d’accueil des gens du voyage est flagrant Laonnois les apiculteurs se mobilisent contre le frelon asiatique Catherine Whalen-Purdy a rendu hommage à son grand-oncle à Vailly-sur-Aisne Poursuivez votre lecture sur ces sujets Abbaye Saint-Médard A lire aussi Il y aura un professeur devant chaque classe» à la rentrée dans la Marne et les Ardennes À Reims, un accès au lycée Jean-Jaurès limité pour la rentrée Découvrez en exclusivité les trois parcours du Run in Reims Le livreur de drogue fonce à scooter sur deux policiers de Reims La députée RN lance une pétition contre la zone de restriction de circulation de Reims À Reims, la maison de champagne Thiénot lance les travaux de sa future vitrine œnotouristique Voir plus d'articles

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